D’après une récente étude, de plus en plus de personnes souffrent de ce qu’on appelle la « fatigue des rencontres en ligne ».
59 % des répondants trouvent qu’il est plus simple de faire des rencontres digitales.
12 à 14 % des utilisateurs de sites de rencontre se disent épuisés ou désintéressés, évoquant une lassitude face aux échanges.
On devient indifférent aux nouvelles relations, ce qui impacte la qualité des rencontres.
Et vous, à quel point êtes-vous devenu indifférent ?
On se plaint de phénomènes qu’on alimente soi-même. Si ça te plaît pas, déconnecte. Ça me rappelle mes parents qui râlent sur les programmes télé mais refusent d’éteindre la télé.
C’est clair que recevoir les mêmes messages bateau ou tomber sur des gens ennuyeux, ça fatigue vite.
Fatigue des rencontres en ligne ? Eh bien, si ça te fatigue, t’arrêtes, non ? Pas besoin de chercher plus loin.
On oublie souvent que derrière un écran, on reste des êtres humains avec des besoins réels de connexion et d’attention. Les likes et les messages, ça nourrit pas l’âme.
Je suis d’accord, c’est épuisant. Ce côté « catalogue humain », où on swipe comme si on choisissait un produit, c’est vraiment dérangeant.
Je pense que le problème, c’est pas juste les applis de rencontre, mais les réseaux sociaux en général. Trop de contacts, pas assez de vraies connexions.
Pour moi, ce n’est pas un burn-out, c’est juste un ras-le-bol. J’en ai eu marre de ces plateformes où tout est trop superficiel.
Oh, moi, j’ai arrêté. Ça me stressait trop, alors j’ai coupé court. J’ai fait de belles rencontres avant, mais quand ça devient une corvée, autant passer à autre chose.
Je trouve l’indifférence vraiment irrespectueuse. Pourquoi ne pas simplement dire les choses clairement, genre « oui » ou « non » ? Mais beaucoup ne savent pas gérer un « non », alors ça crée des malaises inutiles.
Et puis, utiliser le mot « burn-out » à tort et à travers, ça me dérange. C’est une vraie maladie, pas juste de la fatigue des applis !
Tout dépend. J’ai des contacts éphémères, mais aussi des gens avec qui j’échange depuis des années. Ceux-là, je ne les oublie pas.
Si on se prend la tête pour chaque échange raté, c’est qu’on n’a pas de vrais amis, ou alors on se sent trop seul dans la vie réelle.
Moi, je vois deux choses :
Je ne suis pas indifférente par nature, mais je sais que beaucoup de gens ne veulent rien de sérieux. Alors, je prends mes précautions.
La « fatigue des rencontres », c’est comme un burn-out au travail. Il faut trouver son équilibre et ne pas trop se laisser happer par la masse.
C’est normal d’être indifférent avec des inconnus, non ? Internet, c’est comme une grande fête foraine : tu dis pas bonjour à tout le monde et t’as pas envie de connaître tout le monde. Pourquoi est-ce qu’on attendrait autre chose ici ?
Franchement, tout dépend de la profondeur des échanges. Si je discute à peine avec quelqu’un, ça me passe complètement au-dessus. Par contre, si on a eu des conversations intéressantes ou profondes, là ça me touche un peu plus.
Mais j’ai l’impression que beaucoup consomment les relations comme on scrolle sur Instagram. Dommage, ça en dit long sur leur personnalité.
Pfff, la fatigue des rencontres en ligne c’est grave ! 😩 Perso, j’en peux plus, j’ai l’impression de swiper pour rien, c’est tout le temps les mêmes profils, les mêmes discussions qui mènent nulle part. Au début, ça peut être fun, mais après un moment, tu te dis “ok, encore une autre personne qui va pas répondre ou qui va juste vouloir papoter 2 min et basta”.
Le pire c’est que ça devient tellement mécanique, genre tu match, tu discutes, puis ça part en sucette parce que la personne est soit pas sincère, soit elle attend juste une aventure sans lendemain. Du coup, au final, t’es juste fatigué de tout ça, tu vois les gens comme des profils et plus comme des vrais humains à connaître.
Franchement, à force, tu deviens blasé, tu fais plus d’effort, tu réponds à peine, tu te dis que ça vaut pas le coup. C’est un peu ça la conséquence pour moi : on perd de la spontanéité, de l’envie d’aller plus loin. La qualité, ça devient presque secondaire. C’est un peu triste, mais c’est comme ça.