Tu sais ce qui m’a surpris? En côtoyant des gens de tous horizons, j’ai croisé un nombre fou de personnes qui choisissent de rester sans attache. Ça peut sembler étrange pour certains, mais à bien y réfléchir, il y a toute une palette de raisons qui poussent à vivre ainsi. T’as ceux qui ont fait les frais de relations chaotiques. Imagine une dame que je connais bien. Elle a sacrifié des années à pleurer sur des hommes pas du tout dignes d’intérêt. Résultat ? Elle a dit stop ! Ça fait déjà quelques années qu’elle s’épanouit en jardinant, en voyageant seule ou en buvant un verre avec ses copines.

Puis t’as les gens comme mon voisin, un vrai bonhomme, plein d’entrain et d’idées. Il kiffe sa liberté. Pas besoin d’être chez soi à l’heure pour préparer le dîner ou négocier le choix du film du soir. Les soirées improvisées au coin du feu avec des amis lui suffisent amplement ! Il a tenté la vie de couple par le passé, mais chaque fois c’était comme essayer de mettre un carré dans un rond.

À côté de ça, on n’oublie pas ceux qui passent leur temps à chercher et peinent à trouver quelqu’un qui leur corresponde vraiment. Parfois c’est épuisant ! La désillusion peut amener ces âmes là vers cette fameuse décision de vivre sans partenaire; ils se protègent ainsi des déceptions futures.

En somme, cette volonté est souvent teintée par l’expérience personnelle et les besoins profonds. Le poids des attentes sociales s’allège quand on prend le chemin où la joie ne dépend pas d’une autre personne mais se trouve dans ce qu’on crée soi-même au quotidien.