Avant je pensais que ignorer un collègue passif-agressif était la meilleure stratégie. Maintenant, j’me rends compte que le dialogue peut vraiment aider. Parler ouvertement de ses comportements, sans accusations, ça désamorce souvent la tension. Raconter une anecdote personnelle ou un moment de travail partagé peut briser la glace. À la campagne, on sait bien qu’un petit café ou une pause clope favorise les échanges sincères. J’suis convaincu que c’est en créant un espace où l’autre se sent écouté qu’on peut faire évoluer les choses. Les sourires en coin et les sarcasmes perdent de leur impact quand on répond avec bienveillance, même si ça demande du courage au début. Évidemment, faut aussi savoir se protéger ; ne pas hésiter à mettre des limites si le ton devient trop piquant. Une discussion franche, comme on en a autour d’une table après une journée dans les champs, ça fait des miracles pour restaurer une atmosphère apaisée.