Franchement, parler de ce qu’on vivait avant, c’était pas mal mais y’avait déjà des trucs qui m’énervaient. Je me rappelle des jours où on tapait sur nos claviers sans qu’on puisse même entendre un bruit. Pas de bips incessants, pas d’agacement constant à cause des voisins du bureau qui écrivent comme s’ils jouaient au tambour. Et là, je vois ces nouveaux claviers avec plein de promesses mais au final, c’est juste du marketing !

J’en ai eu un à l’époque qui prétendait être « ultra-doux ». J’étais tout excité en l’achetant. En arrivant au taf, j’avais l’impression d’être le roi du monde. Mais une fois branché, je réalise que les touches étaient trop molles et rien ne répondait vraiment. Au lieu d’être plus productif, j’ai perdu ma vitesse de frappe.

Et puis y’a la fameuse histoire des touches qui claquent. Dans les open spaces modernes, t’entends les collègues marteler leur pauvre clavier comme si c’était une séance de percussion. Ça te déprime plus qu’autre chose ! Des fois je me dis que l’inventeur du son « click » avait un sérieux problème avec sa concentration. Avant, on se concentrait sur le boulot et pas sur la symphonie cacophonique autour de nous.

Les anciennes générations avaient quelque chose que j’ai du mal à retrouver aujourd’hui : la simplicité. On avait juste besoin d’un bon outil pour taper sans chichis ni promesses farfelues ! Les petites anecdotes entre collègues autour d’une pause café suffisaient à rendre le boulot plus léger et moins anxiogène.

Maintenant ? On est tous rivés devant nos écrans avec ce stress constant du bruit ambiant et ces faux claviers « silencieux » qui nous promettent monts et merveilles alors qu’au fond ça reste souvent décevant… Je cherche encore un produit miracle dans cette jungle technologique alors que parfois revenir aux bases serait largement suffisant pour améliorer notre quotidien au taf.