Ah, le mal des transports, un vrai casse-tête ! Ça me rappelle une fois où j’ai embarqué pour une petite croisière sur la côte. J’avais un cousin qui adorait la mer et m’avait promis que ça allait être le pied. Sauf qu’à peine sorti du port, j’étais déjà vert comme un pissenlit. C’était pas gagné !

Mon truc, c’est de me concentrer sur des petites choses autour de moi. Je scrutais l’horizon comme si je cherchais un trésor au loin, mais il faut dire que le temps était capricieux ce jour-là. Quand ça tangue trop, les naseaux se remplissent d’odeurs pas super agréables et là, c’est la catastrophe. Du coup, j’ai commencé à faire attention à ce que je mangeais avant d’embarquer : un bout de pain sec et une compote. Un vrai festin pour éviter les vagues dans le ventre !

Un autre détail auquel je n’avais jamais pensé avant, c’était d’avoir toujours une petite bouteille d’eau avec soi. Parfois, c’est juste la déshydratation qui te joue des tours dans ces moments-là. Au fil du temps, j’ai aussi compris que si on s’accroche à quelque chose de solide, comme la rambarde ou même un ami (au sens figuré bien sûr), ça aide à stabiliser tout ce petit monde intérieur.

Et puis il y a l’idée de se distraire avec quelque chose d’autre : lire un bon vieux roman ou écouter de la musique folk qui te rappelle les champs et les coquelicots. Ça aide à zapper les secousses en fait.

Mais malgré tout ça, je me rends compte qu’il y a toujours cette part de mystère avec ces voyages en mer. On essaie plein de trucs mais parfois on finit par tomber sur une solution inattendue lors d’un petit tour en barque au bord de l’eau douce.

Si quelqu’un a encore des astuces moins connues ou des rituels qui pourraient m’aider à affronter ma prochaine aventure marine sans tourner de l’œil au ciel bleu, je suis preneur ! C’est pas le vent dans les voiles qui fait peur finalement, c’est plus ce qu’il se passe dans nos tripes…