Généralement, je me concentre sur l’adaptation et la flexibilité dans mon approche. J’ai souvent constaté qu’un programme rigide peut rapidement devenir lassant, surtout si on ne tient pas compte de son état d’esprit ou de sa forme physique du moment. L’idée est de rester à l’écoute de soi-même tout en intégrant les principes fondamentaux d’une bonne pratique.

Pour ma part, j’essaie de varier mes séances selon mon ressenti. Par exemple, lorsque je suis en forme, je m’autorise une séance plus intense avec des exercices ciblés sur la musculation, alors que les jours où j’ai moins d’énergie, je privilégie le cardio léger ou même des activités comme le yoga pour conserver un bon équilibre sans risquer des blessures. Cela évite aussi cette sensation d’obligation qui peut peser lourd au fil du temps.

Un autre aspect important est de garder une certaine diversité dans les mouvements et les types d’efforts : combiner circuits courts et travail au poids du corps par exemple permet non seulement de travailler différents muscles mais aussi de rompre avec la monotonie.

L’essentiel reste de faire en sorte que chaque session soit plaisante pour éviter ce sentiment que cela devient une corvée. Écouter son corps est clé : c’est lui qui guide ton entraînement et non l’inverse.