Ce qui me gonfle, c’est cette tendance à réduire notre espace à une sorte de galerie d’art sans âme. Ça devient vite une compétition pour voir qui peut vivre avec le moins de trucs, comme si avoir des objets liés à nos expériences était un fardeau. Franchement, ces meubles épurés et ces murs blancs, ça fait plus hôpital qu’habitat. Les gens ont oublié que chaque objet a son histoire et que la déco doit aussi parler de nous, pas juste de l’Instagrammable. On se laisse trop influencer par des normes artificielles, au final c’est triste et désincarné.