Je me souviens quand j’ai emménagé avec mes potes, hyper excité à l’idée de vivre en colloc’. Mais rapidement, c’est devenu une vraie guerre de tranchées. Genre, la première semaine, on s’est tous mis d’accord pour faire les courses ensemble et partager tout. Et là, boum ! Le drame a commencé. Chacun ramène des trucs différents : un qui veut que du bio, l’autre qui compte chaque centime… C’était vraiment le bazar.

Un jour, on avait convenu de faire un plat commun pour le week-end. On se disait que ça allait créer une bonne ambiance, tu vois ? Sauf qu’à la dernière minute, y’a eu un désaccord sur le type de pâtes à utiliser. Franchement, qui se prend la tête sur ça ? Ça a fini en petite engueulade alors qu’on aurait juste pu rire et manger ensemble.

Ce que j’ai appris au fil du temps, c’est qu’il faut vraiment communiquer sans pression. J’ai proposé une sorte de « cercle de parole », où chacun pouvait exprimer ce qui l’agaçait sans jugement ni interruption. Au début, c’était awkward mais après quelques sessions (avec un bon apéro pour détendre l’atmosphère), on a réussi à parler plus ouvertement des responsabilités sans tomber dans le clash direct.

Pour les dépenses communes et tout ça, j’ai lancé une idée pas mal : ouvrir un petit carnet partagé où tout est noté simplement. Chaque mois, on fait un point rapide autour d’un café ou d’une bière pour ajuster les dépenses et décider ensemble de ce dont on a besoin. Ça évite les rancœurs parce que c’est transparent.

La clé ? Se rappeler qu’on vit tous sous le même toit et qu’on doit naviguer ensemble dans cette galère. Faut garder du fun malgré tout ; sinon on perd vite de vue pourquoi on s’est lancé dans cette aventure !