Le plus dur, c’est de ne pas sombrer dans l’ennui. Apprendre une nouvelle langue, c’est un peu comme essayer de faire danser un éléphant sur un air de salsa : ça peut sembler impossible et désespérément drôle à la fois. Alors oui, se fixer des mini-objectifs, c’est génial. Parfois, je me dis que même si je ne maîtrise pas le verbe « être », au moins je peux commander une bière en voyage ! Les échanges avec les natifs sont magiques, surtout quand tu réalises que chaque faux pas te fait rire aux larmes (et eux aussi). Et la musique ? On dit que les paroles te hantent. Choisir des sons qui font vibrer ton cœur plutôt que ceux qui te donnent envie de plonger dans un abîme sans fond, ça fait toute la différence. Bref, l’apprentissage devrait être aussi amusant qu’un chat poursuivant sa propre ombre.