Récemment, j’ai appris qu’il y a pas mal de méthodes pour s’occuper d’un clavier mécanique sans trop stresser. J’avoue que quand la poussière commence à s’installer, c’est un peu déprimant, surtout quand on est attaché à ses touches. Les vidéos de ceux qui prennent leur clavier et le retournent pour en faire tomber les miettes, ça fait rêver, mais on sait bien que ce n’est pas toujours la meilleure option.

Un bon compromis, c’est d’utiliser un petit aspirateur spécifique ou un souffleur d’air, mais en faisant attention de ne pas trop insister sur les switches. L’air comprimé peut vraiment être utile pour déloger la saleté, à condition de garder une certaine distance. Pour les liquides renversés, là, c’est vraiment la galère. Un tissu légèrement humide peut aider, mais faut pas trop tremper. On veut éviter un court-circuit qui transformerait notre précieux clavier en épave.

Pour ce qui est des produits de nettoyage, l’alcool isopropylique à faible concentration semble être le choix le plus sûr, mais à appliquer avec parcimonie. Ça me rassure d’utiliser des trucs moins agressifs pour préserver tout ça.

Le démontage ? C’est là que j’hésite aussi. On entend tout et son contraire sur le sujet. J’ai même des potes qui se sont retrouvés avec des touches qui ne fonctionnaient plus après avoir tenté l’expérience. Du coup, je me dis qu’un entretien régulier peut suffire à conserver son clavier en forme sans avoir à aller dans le démontage extrême. À part une bonne dose de prudence et d’attention, je crois que l’on peut vraiment prendre soin de nos précieux claviers mécaniques sans trop se prendre la tête.