Une chose est sûre : la cuisine végétarienne, c’est un vrai labyrinthe d’idées et de contraintes. On se retrouve souvent à jongler entre ce qu’on aimerait manger et ce qui est réaliste dans notre emploi du temps déjà chargé. En discutant avec mon pote, je me suis dit que cette quête de recettes simples et rapides, c’est presque un voyage initiatique. Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ? Les pâtes, ouais, c’est facile, mais qu’est-ce qui nous empêche d’aller au-delà ?

Je veux dire, il y a quelque chose de beau dans le fait de réinventer des plats classiques en mode végétarien. Comme une sorte de quête personnelle où chaque plat devient une expression de soi-même. Une omelette aux légumes peut-être ? Ou juste des légumes sautés avec du riz ? Ça prend pas tant de temps que ça si on s’organise un peu.

Mais au fond, n’est-ce pas le plaisir qui compte vraiment ? En cherchant ces recettes faciles pour les débutants, on découvre aussi nos propres goûts. On questionne notre rapport à la nourriture. Finalement, si ça peut amener à un moment convivial autour d’un repas partagé, alors pourquoi ne pas essayer plein de trucs ? Je me demande juste où tout ça nous mène finalement… Est-ce que simplifier la cuisine pourrait simplifier nos vies aussi ?