J’ai récemment découvert comment faire une sauvegarde Time Machine propre, et ça m’a replongé dans mes débuts avec Mac. À l’époque, je faisais souvent des sauvegardes à l’aveugle, sans trop savoir ce que je faisais. Je me souviens des frayeurs quand le disque dur faisait des siennes… L’idée de pouvoir restaurer tout mon système en un clin d’œil est fascinante. Ce qui m’intrigue vraiment, c’est cette notion de ‘propre’. Qu’est-ce qui définit une sauvegarde propre ? Est-ce juste une question d’espace ou y a-t-il autre chose ? J’aimerais savoir si certains d’entre vous ont eu des expériences marquantes avec Time Machine, des anecdotes où la sauvegarde a vraiment sauvé la mise. Est-ce que ça vaut le coup d’utiliser un disque dédié uniquement pour ça ? Et combien de fois par mois devrais-je penser à faire ces sauvegardes ? Les souvenirs numériques, c’est précieux, après tout.
C’est pas juste une question de place, c’est la tranquillité d’esprit. Une sauvegarde propre, c’est un disque dédié où tu mets tout ce qui compte, comme les photos de tes vacances et les recettes de grand-mère. Quand ton ordi part en vrille (et ça arrivera, crois-moi), c’est là que tu vois si ta vie numérique est bien rangée. Le coup du disque dédié, franchement, ça vaut le coup ! Tu veux pas avoir à fouiller dans un bazar pour retrouver ta thèse sur la cuisson des lasagnes pendant que ton Mac crie à l’aide.
Alors pour la fréquence, disons une fois par semaine si tu es un accro aux selfies ou si t’as un boulot de dingue sur le macbook. Le stress d’un crash avec rien sous le coude, c’est pas ma tasse de thé. Moi j’te dis : ne néglige pas ces sauvegardes ! C’est pas marrant quand il faut pleurer sur son dossier perdu. Je parle d’expérience… Avoir un Time Machine qui fonctionne bien, c’est comme avoir une assurance tous risques pour ta vie numérique. Rappelle-toi que chaque fois que tu fais une sauvegarde, t’ajoutes une brique à ton mur contre les mauvaises surprises. Si t’as une anecdote marrante avec ça ou si t’as déjà dû jouer les pompiers du ciel après un plantage, fais péter le récit !