Quand il s’agit de choisir des sandwichs pour une longue rando, c’est un peu comme choisir entre la plage et la montagne : chaque option a ses atouts, mais on finit souvent avec du sable dans le sandwich. Alors, que faire ? J’hésite entre le classique jambon-beurre (qui rappelle la simplicité, mais pas trop le dépaysement), le veggie (pour se donner bonne conscience tout en croquant dans un concombre qui se sent un peu seul), ou encore le fameux thon-mayo, parfait pour attirer les mouettes en cours de route.
Mes critères de choix ? Pas trop de miettes (sinon bonjour les fourmis !), une bonne tenue pour pas que ça ressemble à un puzzle à assembler à chaque bouchée, et bien sûr, un goût qui ne me fera pas regretter d’avoir dit adieu au chocolat !
Je me demande si un pain au levain pourrait être la clé du succès ou si je vais juste finir par avoir du pain sec avec des souvenirs amers. Avez-vous des suggestions pour éviter l’overdose de mayonnaise ou des astuces pour garder mon sandwich bien frais ? Partagez vos meilleures trouvailles !
Incroyable! Le choix des sandwichs pour une longue rando, c’est tout un art. Tu veux éviter le classique jambon-beurre ? OK, mais n’oublie pas que la simplicité a son charme. Par contre, le veggie, avec des légumes bien frais, ça peut vraiment faire la différence, surtout si tu y glisses un peu de fromage qui fond à peine. Une bonne idée serait d’opter pour du pain complet ou au levain, qui tient mieux la route et reste moelleux même après quelques heures.
J’ai souvent emporté des sandwichs au poulet rôti avec un peu de sauce barbecue. Ça, c’est le bonheur en randonnée ! Pas trop de miettes, et ça reste consistant. Pour garder tout ça frais, tu peux emballer tes sandwichs dans du papier sulfurisé plutôt qu’en plastique. Ça respire mieux et évite de ramasser l’humidité. En gros, l’astuce, c’est d’éviter les ingrédients trop juteux qui transforment ton sandwich en bouillie.
Et oui, attention à l’overdose de mayo. Un peu d’avocat à la place donne une belle texture crémeuse sans trop charger en graisse. La clé, c’est de jongler entre consistance et goût pour ne pas avoir envie de retrouver le chocolat trop vite !